Zohra Lambouba, danseuse Orientale
Au départ image purement numérique, produite par l'usage erratique d'un logiciel qui n'attendait que çà pour Organiser le Chaos d'Origine en le rendant visible,sous forme d'icône, Objet de vénération sacralisante de la part du petit peuple de Bab Souika qui n'avait pas encore transformé le "sacré"( çà crée) en illicite.( الحرام يولي حرام) Zohra Lambouba n'était pourtant qu'une danseuse de Café Chantant affublée de deux lampes électriques de lumière rouge. 10 octobre 2010 à 5:29
Minuit passé, Zahra (Zohra en accent tamazight), redevenait moins artificielle et se débarrassait de ses lampes.Mais l'effet de la lumière rouge de ces dernières continue à illuminer d'une manière indirecte cette matrice commune de notre "Umma" comme le prétend un cousin juif de Marakech, psychanalyste et écrivain de son état.Dont le nom Sibony pencherait du côté de la "siba" et non de celui du "Makhzen" pour reprendre les termes de Berque. 10 octobre 2010 à 5:29
C'est que Minuit passé, Zohra Lambouba se transformait en Shahr-Azad pour ramener par sa langue fileuse de soie, Son Roi à son humaine condition, en lui racontant des histoires labyrinthes , où la matrice commune se révèle fondatrice de Cités où la calligraphie et l'architecture n'en font qu'une seule dimension, la quatrième. Celle que l'on peut trouver aussi bien dans les miniatures persanes, turques, indiennes ou arabes et dont l'écho incertain se retrouve dans l'oeuvre de Klimt ou bien plus proche de nous dans l'oeuvre de mon ami Néjib .Mais retour au point de départ: ce qui n'était qu'image "purement numérique" se retrouve sous une forme "graphique" où ce sont les pixels eux-mêmes qui sont l'objet d'une auto mise en scène dont l'cône n'est que le sens final d'une révélation (révolution) informatique. 10 octobre 2010 à 5:29
Saloua Mestiri.
"Quelle soie aux baumes de temps
Où
la Chimère s'exténue
Vaut la torse et native nue
Que,
hors de ton miroir, tu tends !…»
( Mallarmé!)
11 octobre 2010 à 13:34